大江戸温泉 - Ooedo Onsen
12 Janvier 2010, mardi, 14h18
Marion est donc rentrée le 29 décembre à 22h15.
J'étais déjà prête, elle s'est donc rapidement préparée et nous voilà partie à 23heures pour aller en boîte : l'Atom.
En chemin, nous faisons une pause au Mc Do histoire de ne pas aller danser le ventre vide et à minuit, nous voilà dans la boite : 1000 yens et une conso offerte grâce aux invit'.
Il est à peine plus de minuit lorsque nous réalisons qu'on est le 30 décembre, Yuu (Marion) a maintenant 20 ans !
Elle n'est plus dans l'illégalité au Japon lorsqu'elle commande un verre, ou entre dans une boite.
Sachant qu'ils l'ont toujours laissée passer à l'entrée, alors qu'ils vérifient les pièces d'identités.
Comme je l'ai déjà dit dans un article précédent, les boites de nuit au Japon sont bien différentes de chez nous. Les garçons sont très correctes.
Il y a 3 salles dans cette boite. Et chaque fois que nous changions, nous nous faisions gentiment aborder par des : "Where do you come from ? Can you speak Japanese ?"
Nous avons passé la majeure partie de la soirée à danser sur les podiums, là où on a de l'air et de l'espace.
Nous quittons la boite à la fermeture : 5 heures du matin.
Une pause au Mc Do histoire de prendre un petit déjeuner et nous rentrons nous coucher.
Au programme de la journée :
Levées 11heures, prendre la navette gratuite à 12h20 pour nous rendre dans un onsen.
Donc nous nous levons comme prévu, après notre courte nuit, à onze heures.
Mais nous trainons un peu... Encore et encore et quittons l'appartement à 11h45.
Nous arrivons à Tôkyô station où nous aurions dû prendre notre navette gratuite que nous savons avoir ratée, la suivante est 2heures plus tard.
Nous demandons donc quel train prendre pour nous rendre à l'Ooedo Onsen. C'était très facile : il fallait prendre la ligne Yukari et descendre à Tokyo telecom. Et c'était juste là. Le paysage était magnifique, et deux femmes japonaises ont commencé à nous parler dans le train. Les japonais ont tendance à demander quelle langue on parle en Belgique.
On a eu 10 minutes de train (au lieu de 40 minutes de bus) et nous n'avons payé que 340yens (2,5€). Le train est passé sur le pont un peu plus haut.
Nous arrivons à l'onsen où on nous fait enlever nos chaussures pour les mettre dans l'un des 3000 casiers puis on va payer : 1 900 yens au lieu de 2 900, mais je ne sais pas pourquoi il y avait cette réduction. On nous donne un petit papier sur lequel on nous explique comment enfiler un yukata.
Nous allons poser nos affaires dans notre casier et nous voilà parties toutes les deux pour nous enfermer dans les toilettes pour que Yuu me fasse mon pansement.
Oui, souvenez-vous : Les tatouages ne sont pas tolérés dans tous les onsen, et en l'occurance, dans celui-ci, il était clairement indiqué à l'entrée que c'est interdit.
Me voilà donc parée d'un magnifique pansement, dont je vante les mérite : lorsque les pansements japonais disent : resiste à l'eau, c'est le cas !
Nous retournons aux vestiaires, et enfilons notre yukata sans difficulté grâce aux explications. Nous sommes d'ailleurs surprise de voir une japonaise ne pas savoir comment faire.
Le grand building à 100 mètres de l'onsen.
Nous entrons enfin à l'intérieur, où il y a quelques boutiques de souvenirs, des stands de jeux et des restaurants, le tout dans un style de, je le suppose, la période Edo.
L'Ooedo Onsen est très réputé, et c'est un peu plus un parc à thème qu'un onsen. Mais ça reste très agréable.
Nous mangeons (ramen) puis allons faire un tour dehors, où il ne fait que 10°C et où nous ne sommes vêtues que de nos légers yukata, ainsi que d'une petite veste prêtée avant la sortie et nous voilà à tremper nos pieds dans un bassin d'eau chaude, ce qui fait qu'on oublie vite le froid.
J'aurais aimé essayer les Dr Fish : poissons minuscules qui viennent manger nos pieds, mais c'était payant.
Nous quittons le bassin pour les pieds et nous rendons aux bains.
Là ça devient un peu plus difficile : il faut se déshabiller complètement.
Mais on n'oublie rapidement ce détail au final, puisque tout le monde se trouve dans la même tenue d'Eve.
Nous restons un petit moment dans les bains intérieurs avant d'aller dans ceux extérieurs, où la chaleur est bien plus supportable puisqu'à l'air libre.
Nous profitons ensuite du hammam, et sauna, du bassin d'eau glacée pour se rafraichir et du jaccuzzi.
Vers 17 heures, nous allons nous doucher et apprécions les produits de beauté offerts par l'onsen.
Nous nous sentons bien, revigorées. On fait ensuite un rapide petit tour à l'intérieur pour faire des photos, et nous voilà reparties pour finir la soirée dans un 居酒屋 (izakaya) bar japonais où l'on peut manger des yakitori et autres, mais surtout, où l'on peut boire.
Nous fêtons donc la fin de la journée, et rentrons sur les coups de 22 heures : eh oui ! pas de chance, je suis malade, avec extinction de voix et fièvre.
Nous nous couchons tout de même vers 4 heures du matin, histoire de garder le même rythme impossible tout le temps !
Marion est donc rentrée le 29 décembre à 22h15.J'étais déjà prête, elle s'est donc rapidement préparée et nous voilà partie à 23heures pour aller en boîte : l'Atom.
En chemin, nous faisons une pause au Mc Do histoire de ne pas aller danser le ventre vide et à minuit, nous voilà dans la boite : 1000 yens et une conso offerte grâce aux invit'.
Il est à peine plus de minuit lorsque nous réalisons qu'on est le 30 décembre, Yuu (Marion) a maintenant 20 ans !
Elle n'est plus dans l'illégalité au Japon lorsqu'elle commande un verre, ou entre dans une boite.
Sachant qu'ils l'ont toujours laissée passer à l'entrée, alors qu'ils vérifient les pièces d'identités.
Comme je l'ai déjà dit dans un article précédent, les boites de nuit au Japon sont bien différentes de chez nous. Les garçons sont très correctes.
Il y a 3 salles dans cette boite. Et chaque fois que nous changions, nous nous faisions gentiment aborder par des : "Where do you come from ? Can you speak Japanese ?"
Nous avons passé la majeure partie de la soirée à danser sur les podiums, là où on a de l'air et de l'espace.
Nous quittons la boite à la fermeture : 5 heures du matin.
Une pause au Mc Do histoire de prendre un petit déjeuner et nous rentrons nous coucher.
Au programme de la journée :
Levées 11heures, prendre la navette gratuite à 12h20 pour nous rendre dans un onsen.
Donc nous nous levons comme prévu, après notre courte nuit, à onze heures.
Mais nous trainons un peu... Encore et encore et quittons l'appartement à 11h45.
Nous arrivons à Tôkyô station où nous aurions dû prendre notre navette gratuite que nous savons avoir ratée, la suivante est 2heures plus tard.
Nous demandons donc quel train prendre pour nous rendre à l'Ooedo Onsen. C'était très facile : il fallait prendre la ligne Yukari et descendre à Tokyo telecom. Et c'était juste là. Le paysage était magnifique, et deux femmes japonaises ont commencé à nous parler dans le train. Les japonais ont tendance à demander quelle langue on parle en Belgique.
On a eu 10 minutes de train (au lieu de 40 minutes de bus) et nous n'avons payé que 340yens (2,5€). Le train est passé sur le pont un peu plus haut.
Nous arrivons à l'onsen où on nous fait enlever nos chaussures pour les mettre dans l'un des 3000 casiers puis on va payer : 1 900 yens au lieu de 2 900, mais je ne sais pas pourquoi il y avait cette réduction. On nous donne un petit papier sur lequel on nous explique comment enfiler un yukata.Nous allons poser nos affaires dans notre casier et nous voilà parties toutes les deux pour nous enfermer dans les toilettes pour que Yuu me fasse mon pansement.
Oui, souvenez-vous : Les tatouages ne sont pas tolérés dans tous les onsen, et en l'occurance, dans celui-ci, il était clairement indiqué à l'entrée que c'est interdit.
Me voilà donc parée d'un magnifique pansement, dont je vante les mérite : lorsque les pansements japonais disent : resiste à l'eau, c'est le cas !
Nous retournons aux vestiaires, et enfilons notre yukata sans difficulté grâce aux explications. Nous sommes d'ailleurs surprise de voir une japonaise ne pas savoir comment faire.
Le grand building à 100 mètres de l'onsen.
Nous entrons enfin à l'intérieur, où il y a quelques boutiques de souvenirs, des stands de jeux et des restaurants, le tout dans un style de, je le suppose, la période Edo.
L'Ooedo Onsen est très réputé, et c'est un peu plus un parc à thème qu'un onsen. Mais ça reste très agréable.
Nous mangeons (ramen) puis allons faire un tour dehors, où il ne fait que 10°C et où nous ne sommes vêtues que de nos légers yukata, ainsi que d'une petite veste prêtée avant la sortie et nous voilà à tremper nos pieds dans un bassin d'eau chaude, ce qui fait qu'on oublie vite le froid.
J'aurais aimé essayer les Dr Fish : poissons minuscules qui viennent manger nos pieds, mais c'était payant.
Nous quittons le bassin pour les pieds et nous rendons aux bains.Là ça devient un peu plus difficile : il faut se déshabiller complètement.
Mais on n'oublie rapidement ce détail au final, puisque tout le monde se trouve dans la même tenue d'Eve.
Nous restons un petit moment dans les bains intérieurs avant d'aller dans ceux extérieurs, où la chaleur est bien plus supportable puisqu'à l'air libre.
Nous profitons ensuite du hammam, et sauna, du bassin d'eau glacée pour se rafraichir et du jaccuzzi.
Vers 17 heures, nous allons nous doucher et apprécions les produits de beauté offerts par l'onsen.
Nous nous sentons bien, revigorées. On fait ensuite un rapide petit tour à l'intérieur pour faire des photos, et nous voilà reparties pour finir la soirée dans un 居酒屋 (izakaya) bar japonais où l'on peut manger des yakitori et autres, mais surtout, où l'on peut boire.
Nous fêtons donc la fin de la journée, et rentrons sur les coups de 22 heures : eh oui ! pas de chance, je suis malade, avec extinction de voix et fièvre.
Nous nous couchons tout de même vers 4 heures du matin, histoire de garder le même rythme impossible tout le temps !
